Se nourrir de lumière……en mangeant !

L’alimentation prânique étant le privilège de quelques initiés, mon objectif n’est pas d’en débattre dans cet article, mais plutôt de vous faire prendre conscience qu’on peut se nourrir de spectres lumineux…. en mangeant !

Car si l’homme est un être de lumière, un être spirituel et une entité énergétique, il est néanmoins aussi un être de chair et d’os ; bien sûr la matière n’est que densification d’énergie…

Si je vous dis que nos cellules émettent de la lumière, sous la forme de biophotons, c’est‐à‐ dire des photons d’origine biologique, j’espère que vous me croirez ; on définit un photon comme étant le quantum d’énergie associée aux ondes électromagnétiques. Le terme biophoton a été inventé par Fritz Albert Popp (« Biologie de la lumière » aux éditions Resurgence/Marco Pietteur), chercheur allemand en biophysique. Un autre scientifique, Georges Lakhosky, né en Russie en 1869, affirmait déjà : « la vie est née de la radiation, est entretenue par la radiation et est supprimée par tout déséquilibre oscillatoire » (« L’origine de la vie » éditions Gauthier‐Villars et Cie). Toutes ces découvertes, qui vous l’avez noté, ne sont pas forcément très récentes, sont malheureusement tombées dans l’oubli, on se demande pourquoi d’ailleurs….

C’est donc bien dommage d’ailleurs que toutes ces découvertes en biophysique n’ont pas été et ne sont toujours pas mieux enseignées dans les facultés de médecine….

Rassurez‐vous, je n’ai pas non plus l’intention de vous faire un cours magistral en biophysique ou en physique quantique, d’autres l’ont fait avant moi, et certainement bien mieux que moi ! Mon objectif est plutôt de vous amener à un peu de bon sens, et de vous faire comprendre pourquoi et comment nous pouvons nous aussi profiter des spectres lumineux….

Jusqu’à présent, seules les plantes, les algues et certaines bactéries ont été reconnues comme étant capables d’utiliser la lumière pour synthétiser les matières organiques (comme le glucose) nécessaires à leur survie : c’est la photosynthèse. Cependant des découvertes récentes ont montré qu’une limace de mer et une salamandre étaient elles aussi capables de photosynthèse ! Mais personne n’a encore prouvé que l’homme pouvait les imiter !

 

Comment expliquer l’origine des biophotons émis par nos cellules ?

Les végétaux photosynthétiques, grâce à la lumière du soleil, peuvent donc synthétiser des glucides à partir d’eau et de dioxyde de carbone, grâce à la chlorophylle, le pigment vert contenu dans les chloroplastes, plus exactement dans la membrane des thylakoïdes…Dans la membrane de ces thylakoïdes on trouve des chaines de différents complexes, ressemblant étrangement aux complexes des chaines respiratoires mitochondriales…
Je ne re ntrerai pas dans les d tails, trop complexes à mon goût pour le message que j’aimer ais faire pas ser ici.

Je résu merais – trè s succinctement – la situation comme ceci

Les plantes ne contiennent pa s que de la matière organique, q u’on appell e métabolit es primair es ; elles él aborent au si de très n ombreux m étabolites secondaire s qui ne participent pas dir ectement à l’assimilation des nut riments et la croissance. A ce jour, plus de 100.000 métab olites secon daires ont été identifiés ; on esti me que chaque végéta l produit au moins u ne centaine de molécules différentes. Parm ces molécules on tro uve notam ent les polyphénols (flavonoÏdes, tanins) et les terpènes et terpénoïdes.

Un polyphénol est une moléc ule comportant au moins un noya u aromatiq ue portant un ou plusieu rs groupes hydroxyles (‐OH)

La caractéristique de ces mol cules phén oliques et terpénique s est d’avoir un système de doubles liaisons conjuguées signifiant une délocalisation d’électrons continue. Ces systèmes conjugués possède nt des propriétés uniques correspondant à un déplace ment continu d’électrons, leur p ermettant ’interagir avec la lumière. Les éle ctrons étant des particules électriques chargées négativement, leur circulation va générer des rayonn ements spécifiques. Chaque molécule possédant ce systèm de doubles liaisons conjuguées va donc générer des rayon nements spécifiques. Ces rayonn ments sont caractérisés par une longueur d’onde, donc d’une fréquence électromagnétique : nous revoilà donc dans le domaine de l’information ! Toute molécule dotée d’un système de doubles liaisons conjuguées peut véhiculer de l’information…

Les couleurs intenses de certains végétaux sont dûs à la présence de nombreux polyphénols que l’on retrouve principalement dans le café, le thé, le cacao, le vin et les fruits.

La grande famille des terpènes et des terpénoïdes regroupent des composés tels les carotènes et caroténoÏdes comme la lutéine présente dans le jaune d’œuf, la carotte, les épinards…Certains terpénoïdes sont aussi responsables de certains parfums comme par exemple celui de l’eucalyptus, de la cannelle, du clou de girofle ou du gingembre. Car les huiles essentielles élaborées par ces végétaux sont aussi des produits de la photosynthèse ; c’est dire si la lumière est à l’origine de très nombreuses molécules aux qualités thérapeutiques maintenant bien prouvées scientifiquement. Molécules que l’industrie pharmaceutique n’arrivera jamais à reproduire exactement, car la chimie ne pourra jamais copier toute l’information contenue dans ces molécules… La matière, oui, mais pas l’information !

Ce qu’il faut donc retenir, c’est que tous ces composés sont issus de la photosynthèse, et qu’ils sont synthétisés grâce à la lumière du soleil : en consommant tous ces produits, c’est un peu comme si nous mangions de la lumière, lumière que les végétaux métabolisent aussi pour nous ! Et plus nous mangeons de cette lumière, plus nous consommons d’électrons, qui vont non seulement alimenter nos chaines respiratoires mitochondriales, mais aussi redonner tous les spectres lumineux dont ces chaines mitochondriales ont besoin, notamment pour contrer les effets néfastes de tous les radicaux libres ou autres substances nocives de l’environnement. L’homme est matière, énergie et information, il est donc logique qu’il se nourrisse de matière, énergie et information !

Pensez donc à introduire généreusement tous ces aliments – remèdes dans votre alimentation quotidienne, sous forme de végétaux frais, consommés le moins transformés possible : crus, en jus fraichement pressés avec un extracteur de jus, ou cuits en hypocuisson. Car ces composés sont sensibles à la chaleur, il faut donc les ménager si vous désirez en tirer un maximum de profit….

Dans certains cas une supplémentation bien ciblée sera nécessaire, afin de permettre à vos petites centrales énergétiques – les mitochondries – à tourner à nouveau à plein rendement ! C’est simple, efficace et 100% naturel ; n’attendez pas de tomber malade pour vous y mettre ! C’est ça, la VRAIE prévention !